[00:03.62]Les sanglots longs des violons de l'autonome [00:07.26]blesse mon cœur d'une langueur de monotone. [00:10.17]Tout suffocant et blême, [00:12.43]quand sonne l'heure, [00:13.84]je me souviens des jours anciens [00:16.38]et je pleure. [00:18.53]Et je m'en vais, [00:19.64]au vent mauvais, [00:20.70]qui m'emporte deçà delà, [00:22.72]pareil à la feuille morte. [00:25.61]Vous avez un très bel accent. [00:28.14]On parlait bien souvent en français. [00:30.59]C'était notre langage secrète. [00:32.85]Frantz aimait tant la France. [00:35.06]mais ne m'a jamais parlée de vous. [00:38.43]Qu'y avait-il entre vous ? [00:40.87][00:40.24]Une femme ? [00:42.07]Non. [00:43.77]Alors, quoi ? [00:45.43]Une amitié, c'est tout.